Avant d’aller plus loin dans la pratique de chirurgie esthétique, il s’avère important de comprendre au préalable son enjeu psychocorporel. Comme il s’agit d’une opération délicate qui consiste à modifier une partie de son apparence physique, plusieurs questions sont à poser concernant les résultats, les effets secondaires, les coûts de chaque opération esthétique et bien d’autres. Manifestement, plusieurs éléments sont à prendre en compte lorsqu’on décide d’effectuer une telle démarche.
Prendre conscience de ce qui se déroule dans l’instant présent
Se lancer dans une chirurgie esthétique requiert beaucoup de réflexions avant d’effectuer son opération. Il faut demander plusieurs avis concernant ce type d’opération afin de savoir si cela en vaut vraiment la peine ou non. Cela dit, une fois que la procédure est lancée, il n’est plus possible de faire marche arrière. On doit finir jusqu’au bout ce qu’on a commencé, quel que soit le résultat à obtenir. Avant de s’engager dans une chirurgie esthétique en Tunisie à prix intéressant, il faut comprendre l’enjeu psychocorporel de cette opération.
Pour cela, il faut être conscient de ce qui se passe dans l’instant présent. L’analyse psychocorporelle présente une aide indispensable permettant de profiter des approches psychothérapeutiques avant et après l’opération. Dans le cas de la chirurgie esthétique par exemple, il y a toujours une méthode visant à prévenir l’apparition ou la propagation d’une quelconque maladie. Cette démarche vise à éliminer les risques de complication. Malgré cela, le but de l’intervention est plus psychologique que médical.
Éviter au maximum les risques durant le processus
Avant de consentir à cette opération très délicate, il est recommandé de s’engager dans une démarche de réflexion totale. En d’autres termes, son consentement doit être adapté sur une appréciation des risques de la chirurgie esthétique, des gains ou des profits dont il prévoit de bénéficier. Même si le sujet principal à traiter reste l’esthétique, il s’avère important de l’effectuer de manière objective. Ainsi, on peut en profiter pour faire accepter ses propres perceptions des choses. Il est possible que le patient veille particulièrement à ses proches ou bien son conjoint en souscrivant par exemple à une assurance si jamais l’opération tourne mal.
Le fait d’accepter de modifier son image corporelle peut aussi influer sur l’amour de soi et la confiance qu’on éprouve à ses entourages. Les différents « cas cliniques » de peur phobique d’un défaut de l’apparence engendrent la plupart du temps un malaise très profond. Cela peut provoquer des pensées suicidaires ou des obsessions. Il est donc impératif de se questionner sur le bien-fondé de leur motivation avant de se lancer dans une telle opération. Sinon, le recours à la chirurgie plastique ne constitue pas une solution facile. Certes, le désir d’être aimé peut être très fort, mais il faut également réviser la façon de se comporter, incluant psychocorporelle, afin de faire le bon choix.
Enfin, il faut trouver les bonnes questions et les bonnes réponses. Le choix d’envisager de se faire opérer doit se fonder sur de certaines préoccupations très importantes. Par exemple, on se demande peut-être « pourquoi avoir l’air plus jeune ? », et la réponse appropriée à cette question est nombreuse : « pour être plus efficace dans la communication et l’expressivité du visage » ou encore « pour être plus à l’aise devant les préjugés ». En bref, on peut remarquer qu’il s’agit des réponses personnelles, valables pour une personne qui a réalisé le travail nécessaire pour bien marquer ses motivations.